La course avait fini trop tôt. Il était quatre
heures et demie et il faisait jour encore, lorsque Catherine se retrouva dans
sa chambre, la tête pleine des évènements de son extraordinaire journée. Il
s’assit devant la table, désoeuvrée, attendant le dîner et la fête qui devait
suivre. Il était son anniversaire et elle sortirait avec ses
amies pour boire de la bierre. Aussi-tôt qu’elle reçut un appel de téléphone,
elle saute de la chaisse. À l’autre côté du téléphone une voix étrange retentissait et beaucoup de
sons bizarres s’écoutaient. Elle eut un frisson et comemmença a s’inquiéter. Elle parcourut la chambre d’un côté à l’autre en attendant l’arrivée desirée
de ses amies mais il était trop tôt encore. Catherine reçut un autre coup de téléphone et elle douta
quelques instants mais finalement elle répondit. De nouveau plusieurs sentiments envahirent
son sprit et le peur s’empara de son corps . Tout à coup la porte s’est ouverte et tous ses amis
entrèrent déguisés et en portant des ballons et une gallette couronné d’autant
chandelles qu’ans elle avait. Elle souffla apaisée. Quelle sourprise!
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ResponderEliminar...elle leur a raconté à ses amis qu'elle avait senti de la peur et tous ont ri. Lorsque ils ont commencé la fête, ils étaient très heureux en mangeant, en parlant, en dansant... mais des choses étrangères commencent à arriver; les lumières à s'allumer et à s'éteindre, des sons. Les amis de Catherine croyaient que c'était une mauvaise plaisanterie d'elle, parce qu'elle n'était pas dans la chambre et ils s’étaient ris avant d'elle.
ResponderEliminarCependant le temps passait et Catherine n'apparaissait pas. Tous ses amis l’avaient cherché. Tout à coup le téléphone a sonné et cette fois la voix a parlé, et a dit que à Catherine l’avaient enlevé quelqu’un et tous sont allés à le commissariat.
María Guillén Vigueras